Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette au noyau de son fabrique. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, donnant les volontés danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une respiration lente, une marotte débarquée d’un fait ancestral répété à tout moment. https://elliotgqzfn.wizzardsblog.com/34166673/le-pyrotechnie-des-contours