Dans un petit cabinet basé en périphérie de toulouse, une acupunctrice pratiquait son art durant plus de dix années dans une discrétion divine. Les murs en rêve net, l’odeur d’huiles primordiales et le silence constant formaient l’écrin parfait pour les séances journalieres. Jusqu’au aube où, en plantant une aiguille au https://martinjtwzz.blogofchange.com/34686902/la-la-première-pulsation