Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les transitaires de Makoko comme des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre monde et lagune, vibrait d’une loi d'attraction dense et souterraine. Abeni, elle, restait définitif sous sa toile, les yeux rivés sur sa pomme. Chaque matin, premier plan https://zioncibii.is-blog.com/40528043/les-cercles-spirituels