L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les ombres de la nuit s’effaçaient miette à brin, mais sur le carton de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme tout matin, il se dirigea poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs poétique https://judaheanli.tusblogos.com/34141698/l-encre-qui-disparaît