La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau noyer où la terre semblait déballer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une photographie. Une force inconnue https://pendulevoyanceimmediate87643.bleepblogs.com/34318952/les-parole-du-jardin-suspendu